“Tout peut changer. Capitalisme et changement climatique”, de Naomi Klein. Bis

Ca y est je l‘ai enfin terminé ! Il est rare que je mette autant de temps à finir un livre, plus de 6 mois ! Mais il faut bien avouer que celui ci, est ce qu’on appelle, un pavé ! Plus de 500 pages denses d'informations ! Ce n’est pas un roman mais un formidable panorama des pratiques écologiques au travers le monde.
“Tout peut changer, capitalisme et changement climatique”. De Naomi Klein.

Pourtant autant vous dire que je n'adhère absolument pas à la manière dont c’est écrit. En effet Naomi Klein est plutôt du genre catastrophisme-anxiogène, et, est très critique envers le monde qui l'entoure...
Mais qui est elle ? A mon sens, et de manière cliché, je dirais  : une bobo gaucho New-yorkaise ex babacool ... Ce qui ne rend pas le livre si objectif que cela.

Mais je tire mon chapeau aux enquêtes approfondies, aux explications de la manière dont tous cela s'articule de part le monde. Je vous le conseil pour cet été, car il est sorti en livre de poche à 13 euros, mais l’avantage est que ce livre, vous fera TOUT l'été...

De quoi s‘agit il ? Elle critique les activités humaines basées sur un capitalisme devenu hors contrôle, et pense à tord ou à raison, que les actions des hommes de terrain aboutissent à reconstruire un monde meilleur.

Pourquoi pas, un brin utopique, mais il ne faut pas être défaitiste, et puis se monde ultra capitaliste, c’est à nous de le changer ! Nous sommes libre d’aller faire nos cours ou l’on veux! D'acheter bio ou pas ? De prendre le vélo ou la voiture... De regarder la TV ou lire un livre...

Meme si je n’ai pas toujours aimé le tonalité de son écriture, il faut bien avouer qu’il a y de nombreux passages des plus intéressants et je lui reconnais une écriture fluide, accessible a tous.

“En plus de stimuler une croissance de la demande en individus bardes d’armes, sécheresse et inondations procurent toutes sortes de bonnes occasions de faire des affaires. De 2008 à 2010 ont été déposés au moins 261 brevets portant sur des semences” adaptées aux changements climatique”...
Rien de tout cela n’est très surprenant. Le système actuel est conçu pour inventer de nouvelles façons de privatiser les biens communs et de mettre les catastrophes au service du profit : livré a lui meme il n’est capable de rein d ‘autre.”

“Autrement dit, un bouleversement catastrophique du climat de la planète est plus facile a accepter que la perceptive de rompre avec la logique fondamentale du capitalisme.”

Je vous rassure, la troisième et dernière partie de cet ouvrage “ Parce qu‘il faut bien commencer quelque part”, ouvrent des perspectives positives, un peu dans l’esprit du film “Demain”.