Quels impacts de nos résidus de médicaments dans les rivières ?

Il y a des pollutions visibles que tout le monde vois, qu’on peux critiquer remettre en question mais surtout s’en méfier et s’en protéger. Et puis il y a des pollutions plus sournoises dont les conséquences sont plus discrètes, car dans certains cas, comme pour alzheimer qui est du aux pesticides, on se dit qu’on est malade que c’est comme ca ! Les médias comme les politiciens ont plus de mal a en parler : les ondes électromagnétiques qui nous envahissent, les boues rouges dans les profondeurs de la Méditerranée, la pollution de l'air qui fait autant de mort en France que les méfaits de l’alcool, et... la pollution des rébus des médicaments dans les rivières !
C'était presque une information confidentielle ! Seul qui y travaillent en parlaient entre eux. C’est devenu si grave que c’est cette semaine a eu lieu la première conférence internationale sur le sujet, organisée par l'Académie nationale de pharmacie avec le soutien des Ministères de l'Ecologie et de la Santé à Paris.

De quoi s’agit il ? Tous nos déchets d’une manière ou d’une autre finissent a la mer, en passant par les rivières, surtout ceux qui sont microscopiques, tel des molécules. Lorsque qu’on se lave les mains, par exemple.
Qui est concerné : les laboratoires et les hôpitaux rejettent des eux usées, qui sont filtrées jusqu'à un certain point. Les molécules passent dans les filtrent meme les plus fins et se retrouvent dans la nature, déchets, résidus, malveillance, habitudes...
Et puis nous ! Où vont les pilules contraceptives depuis très longtemps ?!
Ces molécules sont absorbées par les poissons, sois en meurt, sois cela joue sur leur métabolisme et favorise ... les femelles ! Oui les poissons se féminisent!

C’est je pense une raison supplémentaire, a la sur pêche, de la disparition de tant d'animaux marins.
On en connais pas bien encore toutes les conséquences, et pour cause les autorités et organismes privés se passent bien d’une étude ! Leur problèmes sont les coûts de contrôle de tels déchets. Pourtant s’ils ont jugé bon de se réunir pour en parler, c’est qu’il est urgent et qu’il y a bien un problème.

Un médicament n’est pas quelque chose d'anodin, ni pour notre corps ni pour la nature.